Mon appel du « 1 pour 1 » a été entendu : la Ville recrute 70 policiers municipaux, l’État affecte 70 policiers nationaux supplémentaires à Nantes.
Le droit à la sécurité est un des piliers du pacte Républicain. J’avais appelé en janvier 2020, dans le cadre de la campagne des Municipales, à un nouveau contrat avec l’État, convaincue que la coordination et l’action publique renforcées, partagées par l’ensemble des partenaires du continuum de sécurité était une nécessité pour obtenir des résultats. J’avais proposé un principe simple : quand la Ville met 1, j’attends que l’État mette 1. Je me félicite aujourd’hui que cette proposition ait été retenue par le Ministre de l’Intérieur avec cette décision d’affecter 70 policiers nationaux supplémentaires à Nantes.
Ce contrat de sécurité intégrée signé aujourd’hui comprend 67 actions qui vont de la prévention à la sanction en passant par l’éducation et la médiation. Il donne aussi des moyens complémentaires à la justice de proximité. Il traduit notre engagement, avec mon équipe, à mobiliser des moyens humains et financiers supplémentaires de la Ville, et vient ainsi concrétiser ma détermination à assurer la sécurité des Nantaises et des Nantais.
Après un premier mandat qui avait vu les effectifs de la police municipale augmenter de 20 %, la mise en place de l’îlotage dans les 11 quartiers nantais, l’ouverture d’une Maison de la Tranquillité publique et le déploiement de caméras de vidéoprotection avec l’ouverture d’un Centre de supervision urbain, j’ai fait de la sécurité une priorité du nouveau mandat et annoncé le recrutement de 70 policiers municipaux supplémentaires d’ici 2023, dont 29 cette année, en plus des 32 policiers métropolitains des transports en commun déployés d’ici fin 2021.
Ce Contrat de sécurité intégrée mobilise les moyens humains et financiers nécessaires pour un partenariat plus efficace et encore plus coordonné entre les actrices et acteurs qui concourent à la sécurité des Nantaises et des Nantais : l’État, la Ville, la Police, la Justice, mais aussi tous les acteurs de la prévention, l’Éducation nationale, les bailleurs sociaux et la SEMITAN.