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Johanna
Rolland

Maire de Nantes,
Présidente de Nantes Métropole

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French Tech : Nantes confirmé

Publié le 26 juillet 201610 septembre 2016

L’État choisi NantesTech pour co-construire 5 des 9 réseaux thématiques nationaux dédiés à la santé, aux industries du futur, aux industries culturelles et créatives, au développement durable et au « e-commerce »

 

Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, et Axelle Lemaire, secrétaire d’État au Numérique, ont annoncé ce 25 juillet avoir retenu la métropole nantaise pour co-construire 5 des 9 « Réseaux thématiques French Tech » et fédérer au niveau national
les startups engagées sur ces domaines.
Nantes participera ainsi à l’ambition numérique française dans les domaines de la santé, des industries du futur, des industries culturelles et créatives, du développement durable et du «ecommerce». Cette annonce s’accompagne du renouvellement de la labellisation « French Tech » de Nantes Métropole pour les 2 ans à venir.

ÉCONOMIE NUMÉRIQUE : LA FORCE DES RÉSEAUX THÉMATIQUES
NantesTech, réseau des acteurs du numérique de la métropole, vient d’être sélectionné par le ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique et la mission French Tech pour co-construire des réseaux numériques français thématisés. Cette spécialisation thématique devra engager les startups dans une dynamique sectorielle au niveau national, et en accroître l’impact au niveau international.
La métropole devient ainsi membre de 5 « Réseaux thématiques French Tech » pour lesquels elle avait porté sa candidature : la santé, les industries du futur, les industries culturelles et créatives, le développement durable et le «e-commerce». Désormais labellisés, les réseaux thématiques vont écrire leur feuille de route et définir leurs actions d’animation et de promotion. Objectif : mettre les entreprises en réseaux, multiplier les énergies, accélérer les projets et favoriser l’emploi…

Je me réjouis de cette annonce, c’est un nouveau succès pour les acteurs du numérique à Nantes.
Leur implication collective paie à chaque engagement de la métropole, et c’est bien ce dynamisme qui
fait notre force. La force du réseau Nantes Tech et des acteurs de l’innovation, la densité des
entreprises, l’implication des acteurs publics, leurs projets et perspectives de croissance, sont le fruit
d’un travail intense et continu qui place aujourd’hui Nantes en tête des réseaux français pour imaginer
par exemple l’hôpital du futur ou développer l’usine de demain »

  • Le réseau « Santé » (réseau national « HealthTech », candidature nantaise portée par Atlanpole) : le projet de CHU et le développement du quartier de la santé sur l’île de Nantes sont une opportunité forte pour le territoire. Déjà en pointe en matière de biotechnologie grâce à des centres de
    recherche, des plateformes technologiques (comme le cyclotron Arronax), des entreprises leaders (Eurofins, Valneva, Biofortis) ou des startups comme Atlanthera (levée de fonds de 2 M€), Inflectis (4 M€) ou Xenothera (2 M€), Nantes est aussi en plein développement dans le domaine des
    technologies médicales grâce à Keosys, Qualiformed, Aqualeg… et aux croisements entre startups et établissements de soin favorisés par des dispositifs comme DigitalForLife.
  • Le réseau « Industrie du futur » (réseau national « Manufacturing », candidature portée par le pôle de compétitivité EMC2) : avec la construction de l’Airbus A380 ou des plus gros paquebots du monde, avec l’IRT Jules-Verne, son fabmake, son technocampus ou son centre industriel de
    réalité virtuelle (CIRV), la métropole Nantes – Saint-Nazaire présente l’une des premières croissances industrielles en France. En s’appuyant sur des dispositifs comme PlugIn, elles peuvent impulser des croisements entre les industriels et des startups comme Pixiel, Pilgrim Technology
    (drones), Nextflow Software, Gobio Robot, Cosling, MicroEJ ou Geps Techno (énergies marines, 2 M€ de levée de fonds).
  • Le réseau « Industries culturelles et créatives » (réseau national EdTech / Entertainment, candidature portée par le cluster du Quartier de la Création) : au croisement d’une politique culturelle ambitieuse et d’un projet urbain unique en Europe, le Quartier de la création devient un
    pôle d’excellence pour ce que l’on nomme communément les « ICC » nantaises. Sensorwake, Termites Factory, Structures, Egide, M Stream, Kiplin… ces startups innovent dans toutes les dimensions : design, jeux vidéos, édition, média, spectacle vivant, audiovisuel, modes et accessoires, etc.
  • Le réseau « Green / développement durable » (réseau national Cleantech / Mobility, candidature portée par Atlanpole) : ce réseau traitera en particulier des énergies marines renouvelables, du Green-it, de la ville durable et de l’éco-construction, des réseaux intelligents. Il peut s’appuyer sur des initiatives comme Eco Innovation Factory pour accélérer le développement des startups, comme les projets structurants Smile ou le projet européen mySMARTLife. Plusieurs startups sont impliquées : QOS Energy, Greenspector, UmanIT (green-it), EP (habitat, lauréat du
    pass French Tech), Qivivo, Innosea…
  • Le réseau «e-commerce» (réseau national « Retail », candidature portée par Atlantic 2.0) : ville historiquement commerçante, Nantes voit se développer le commerce en ligne et les métiers connexes, la digitalisation des points de vente et les initiatives de soutien aux jeunes pousses
    portées par des entrepreneurs (ex : Octopus de Lengow pour accompagner les entreprises du commerce de détail). On y retrouve les plus belles réussites nantaises : Lengow, iAdvize, Akeneo (lauréat du pass French Tech en 2016), Dictanova,
FRENCH TECH : NANTES MÉTROPOLE CONFIRMÉE DANS SON RÔLE DE LOCOMOTIVE
Par ailleurs, la métropole nantaise voit sa labellisation « French Tech » confirmée et renouvelée pour les deux années à venir et confirme ainsi sa place de leader de l’entrepreneuriat numérique en France. Elle a été parmi les premières métropoles a décrocher le label en novembre 2014. Près de deux ans plus tard, ce territoire connaît la première croissance d’emplois numériques en France et fait preuve d’un réel élan en termes de création d’entreprises. Elle bénéficie d’un écosystème fédérant startups, partenaires institutionnels et consulaires, université, monde de la recherche et acteurs économiques. Plus d’info sur le site de l’AURAN.

 

L’objectif fixé avec Nantes Tech est, entre autres, de contribuer à la création de 10 000 emplois supplémentaires d’ici 10 ans et de donner naissance à 10 « Tech champions » nantais d’envergure internationale. Pour cela, l’équipe Nantes Tech poursuit depuis 2014 une stratégie de développement
en 3 axes :

  1. établir un Quartier de la création, sur l’île de Nantes, qui rassemblera à terme 10 000 startupers, créatifs, étudiants et chercheurs. En 2017, les anciennes halles Alstom en deviendront le centre névralgique, avec plus de 12 000 m² dédiés au numérique et aux industries culturelles et créatives
  2. favoriser les croisements entre le numérique et les filières d’excellence et d’avenir du territoire (par le biais, entre autres projets, des « Réseaux thématiques French Tech »).
  3. animer un réseau de coopération et une programmation événementielle de portée internationale.
JOHANNA ROLLAND AU CONSEIL STRATÉGIQUE DE L’AGENCE NATIONALE DU NUMÉRIQUE
Johanna Rolland intègre le board de l’Agence nationale du numérique, lancée officiellement le 7 juin par Emmanuel Macron et Axelle Lemaire. Le board, c’est un conseil d’orientation stratégique, chargé de donner son avis sur l’action de l’Agence du numérique et d’apporter une vision internationale aux projets français, tout en leur gardant un ancrage territorial fort. C’est une nouvelle opportunité offerte à l’écosystème nantais pour faire entendre sa voix. Le board est composé de 6 membres : Johanna Rolland, maire de Nantes et présidente de Nantes Métropole, Karine Dognin-Sauze, vice-présidente de la Métropole de Lyon en charge de l’innovation, ainsi que deux investisseurs (Pascal Cagni, ancien responsable d’Apple Europe, et Bernard Liautaud, cofondateur de Business Objetcs), un journaliste (Francis Pisani) et le directeur d’une fondation de soutien au développement de l’innovation au Royaume-Uni (Geoff Mulgan, de l’association Nesta).

 



 

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Catégories Communiqué de presse, Presse / Médias
Auteur Fleur Malouines
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